Escaliers
J'ai mentionné que j'habitais sur une colline? J'aurais peut-être dû préciser que je suis DANS la colline: pour arriver à la porte d'entrée, il faut conduire sur une petite rue, officiellement à deux voies mais, bon, franchement, faut pas rêver... les gens d'ici savent bien que c'est un sens-unique non-indiqué. Donc on conduit une petite rue qui monte, qui monte, qui se sépare en deux et ensuite qui descend, qui descend, qui descend à un angle qui donne le vertige. On stationne sur le côté de cette petite rue bien étroite, et on descent la douzaine de marches entre la rue elle-même et le passage piéton. L'entrée de chez Mary est juste en bas des escalier, impossible de la manquer. On pousse la grille et la vue est celle ci-dessus: encore des escaliers! Notez que le soir ce n'est pas éclairé (je n'ai jamais été aussi heureuse d'avoir un cellulaire gadget qui inclut une lampe de poche).
Après ces escaliers - inégaux et pas tout à fait à niveau - on arrive sur un beau patio, il y a des petits drapeaux tibétains, une petite mare, et Mary pense installer des 'fairy lights' (lumières de Noël blanches) autour de la véranda une fois l'été arrivé. C'est très accueillant comme espace.
Je dois dire que la véranda, qui fait le tour de la moitié de la maison, est particulièrement agréable pour lire et déjeuner/dîner et lire quand la température se trompe de saison et nous envoie une journée chaude et ensoleillée comme aujourd'hui.
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